nom : Héritage paternel, Pritchard, typiquement gallois. Un patronyme court à prononcer - légèrement plus long à écrire et implanté en ville depuis sur des générations déjà. prénom(s) : De son premier prénom Susan - Cobie de son second, mais ne se fait néanmoins connaitre que du diminutif de Susie, voir Sue occasionnellement. date et lieu de naissance : Native du vingt-six octobre (1988), ici-même à Swansea - dans l’hôpital le plus proche. âge : trente années moins trois, soit en tout et pour tout vingt-sept ans. origines : Purement, totalement et parfaitement galloises. études/métier(s) : Artisane d’art, luthier. Chargée de la fabrication, de la réparation, de la restauration manuelle et de la vente de divers instruments de la famille du violon - tels que les altos, violoncelles et contrebasses. Autant dire, que c’est un emploi qui permet l’implication dans l’univers artistique, l’épanouissement musical, mais aussi l’apport de revenus suffisants, stables et réguliers. statut civil : Éperdument amoureuse de cet homme qui lui a fait baisser sa garde et tourner la tête. Cet homme qui l’a apprivoisée et avec lequel elle est actuellement en couple. statut familial : Enfant de parents divorcés et ainée d’une fratrie de quatre dont elle n’est que le vilain petit canard. péchés mignons : Les fruits rouges très probablement et tout particulièrement les groseilles. Le goût de légère amertume de ces petites billes rouges qui vous éclates entre les dents. plus grand regret : Il n’y a pas plus grand regret, semble-t-il, que l’abandon d’un rêve d’enfant. En l’occurence pour une jeune femme de vingt-trois ans avide d’amour, de contes pour enfants et de princes charmants, probablement qu’il n’y à pas pire regret que celui de l’impuissance face à la séparation parentale. Un divorce conjugale qui compte la stabilité familial. plus grand rêve : Hormis se prouver à elle-même que l’amour éternel n’est pas qu’une illusion, mais qu’il existe bien réellement. Il y a encore quelques années de ça, il n’y avait pas de plus grand rêve que celui de se joindre aux bancs du conservatoire de renom gallois en titre de violoniste prodige, un rêve qui à cependant volé en éclat avec le couple de ses parents. traits de caractère : Entreprenante, mais aussi audacieuse, aventureuse et séductrice. C’est une boule d’énergie insatiable. À la fois intrépide et casse-cou, presque pareille à ces bêtes sauvages qui parcourent la savane aux aguets. Une sauvageonne voilà ce dont on parle. Une sauvageonne farouche au premier abord, mais en vérité foncièrement sensible. Maternelle, protectrice voir étouffante. D’une curiosité envahissante. C’est une gamine qui refuse de grandir, bien qu’elle s’efforce d’être aussi mature que possible quand la situation l’exige ce qui n’est pas mince affaire pour cette gosse à la larme facile. Distraite, autant que naïve et idéaliste autant qu’optimiste. C’est une petite étoile dans le ciel sombre de la nuit. Une étoile entêtée, déterminée et parfois franchement épuisante. groupe : cold stone island.

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un : Passionnée par le travail du vitrail dès l’adolescence, plus qu’une activité un véritable passe-temps, depuis au moins dix ans maintenant. De la restauration de vitraux anciens à la création de vitraux modernes, en passant par leur pose. C’est un véritable plaisir, à la fois artistique et technique, que de travailler le plomb et le verre coloré avec minutie. Susie à ainsi participé à la rénovation et au remplacement de nombreux vitraux de l’église catholique de la ville. - deux : Une fois le diplôme d’études de second cycle en poche, il n’a pas fallu beaucoup de temps de réflexion en amont à l’entrée en université. Y furent étudiés la musicologie et le chant, mais aussi et surtout la pratique du violon avec acharnement. Puis finalement, tout fut abandonné pour apprendre sur le tas le métier de luthier, vers l’âge de vingt-quatre/vingt-cinq ans. - trois : Il y a quatre ans, les parents Pritchard ont divorcés, rien de bien surprenant - rien d’étonnant ou même d’inquiétant pour ce siècle. Juste deux êtres ayant fait naitre trois beaux bébés et qui pourtant ne s’aiment pas, ne s’aime plus. Qui se séparent, qui s’abandonnent. Un divorce qui  à beaucoup secoué la fratrie de la famille, certains membres plus que d’autres, Susie plus que les autres. - quatre : Depuis ce jour, tout le monde le sait, l’amour n’a plus lieu d’être. L’amour éternel n’existe pas, il n’existe plus et même si l’ainée Pritchard est actuellement en couple et amourachée d’un homme qu’elle considère merveilleux. Même si elle fait mine d’être aveugle et s’éfforce de ne rien remarquer. De ne croire en rien d’autre qu’en lui. En vérité, dans le fond, elle le sait. Ça ne durera jamais vraiment, après tout ses parents eux-même l’ont bien démontré, rien ne dure jamais vraiment et certainement pas l’amour. - cinq : En considérant l’ensemble de la fratrie, ce sont les deux ainées - séparée d’un an et quelques mois tout juste - qui sont les plus proches. Deux filles, passionnée d’art et de culture, avide d’activités comme de professions manuelles. Le frère et petit dernier n’en est pas un mal aimé pour autant, mais mâle et incroyablement studieux. Contrairement à ses ainé, il est avide de grandes et longues études, il aime les choses terre à terre et bien carrées. Si bien que la cadette joue souvent le rôle de pond d’ancrage entre l’une et l’autre de sa soeur et de son frère. - six : Un café le matin au réveil, un second une fois arrivée à l’atelier. Un troisième en cours de matinée, après confection de maquette, puis en un - un quatrième - après le déjeuné. Un autre encore, le cinquième, à la confection pour se concentrer sur le travail du bois, des détails et de la personnalisation unique sans fausse note artistique. Encore un, après le boulot, dans un café du coin, parfois seule et parfois en bonne compagnie. Parfois plus et parfois moins, mais toujours beaucoup. Beaucoup de café par jour. Du café noir et serré, court comme allongé, voir même coupé avec du lait. Beaucoup de café. - sept : Un chat, pour ne pas dire une chatte - parce que c’est franchement toujours bien interprété. Alors un chat, une petite femelle, une siamoise. La plus séduisante jamais vue. Une petite chatte douce et gracieuse, autant que sauvage et agressive. Une affectueuse compagne qui offre toujours les réveils les plus adorables à sa maitresse et les accueils les plus sanguinolents aux inconnus, à tel point qu’elle en est parfois surnommée Coré (premier nom de Perséphone) déesse des Enfers pour son tempérament bien trempé. - huit : Un tatouage, dans le haut du dos - bien au centre - entre les deux omoplates. Juste une phrase légère et fluide, en lettres noires et bien serrées, parfois entrelacée. D’une écriture calligraphiée qui dit : « create the joy, don’t wait it » une phrase dite un peu comme ça. Mine de rien. Formulée par une cadette pour une ainée en larmes. - neuf : Une envie, une seule et unique, une envie d’aventure. Une aventure pleine d’aventures, de l’aventure c’est plus qu’une envie, c’est un désir. Un désir, presque continuel d’être arraché au quotidien, de braver les dangers et d’outrepasser les règles, de survoler ses limites. Envie d’entrer dans un bar avec lui, en faisant mine de se rencontrer et se draguer avec les phrases d’accroche les plus pourries. Envie de grimper aux arbres, d’escalader les cimes aussi haut que possible, une boite d’oeuf en main pour canarder les passants. - dix : Les films, peu importe leur genre - leur style - leur nom. Les films, tous, quelque qu’ils soient. Les Romances, les comédies, les épouvantes, et les fictions. Les adaptations, les films anglais comme étranger, les courts métrages et les films beaucoup trop longs. Les blockbusters et les gros navets, les film - la glace et la paresse sont certainement une chose dans la grande gamine brune ne pourrait se passer. Une fois par semaine au minimum.

@Jas, toi - toi - toi et puis Sam. Clay, il me vend du rêve je te le cache pas, en plus : un - deux - trois - quatre Bref, tu vois l'idée mon chat, garde moi un lien.

@Mathou, pas aussi belle que toi Chipie et puis pour le coeur de James, pas de panique, je vais le dompter. ( ) Merci à toi d’avoir créé Susie jolie,   je pouvais franchement pas résister (et merci pour la réservation soit dit en passant). Bref, merci surtout de ton accueil.

@Lisa, t’es pas belle t’es canon toi.   C’est marrant comme scénario parce que quand j’ai découvert Alicia j’ai immédiatement pensé qu’elle et Emilia avaient un drôle d’air de resemblance, du coup j'ai une envie impatiente d'exploiter tout ça avec toi.       TOLÈRE MOI SI TU PEUX, IL SERA BIENTÔT TOTALEMENT MIEN - MOUHAHAHA.         Merci de ton accueil jolie brune.  

@Charlotte, merci pour ton accueil et puis tes choix sont franchement pas mal non plus.

Ô non, mais arrête.   Tu me vends du rêve.     Sauf que Sue à déjà Ariane à dos, alors pas besoin d'en faire de même avec Mara ou elle aura plus que ses yeux pour pleurer la violoniste ratée.

Ben bien sûre, parce que son petit coeur à Susie il souffre pas encore assez tu crois qu'il a besoin de s'attacher à un second homme qui en aime une autre ? PFEUH.

Bon sang, ce que vous êtes méchants avec moi. Je vais me venger tu vas voir ça.

Mais non, regarde, tu vois bien que je veux de toi.